Cher cousin et cousines

Comme voilà le moment ou vous allez vous approché de nous, je vien encore pour vous rapporté que vous nous avez promie de venir nous voir, aussi nous attendont toujours votre visite.

Mais il ne faudras pas faire comme d'abitude, c'està-dire ne pas nous prévenir, car papa me prie de vous dire qu'il faudras nous envoyée une carte.

Neuil est toujours la même. Les batteries de machines sont commencées, nous nous avons battues notre blé lundi comme nous en avons eu comme dans les 650 doubles, nous battrons notre avoine à la fin.

Plus rien à vous dire.

Recevez cher cousin et cousine et petites cousines mes meilleures amitiés.

Mille bon baisers pour toutes la famille.

Camille Girard